mercredi 6 avril 2011

Mobilisation contre le cancer du sein

Nora Berra,secrétaire d'État à la santé, prise dans la polémique « gay» à cause de ses propos, attire cette fois-ci notre attention sur la baisse du dépistage du cancer du sein. Elle nous rappelle quelques chiffres frappants. Le cancer du sein est :
- la 1ere cause de cancer
- la 2e cause de mortalité par cancer chez la femme
Un dépistage précoce permet de mieux traiter ce cancer et augmente les chances de guérir.
Le médecin de famille est évidemment la clef de voûte de cette prévention, mais tout un chacun peut y contribuer, on doit donc avoir dans l'esprit le slogan : « Mobilisez les femmes que vous aimez ».
Et aussi, un dépistage c'est sans danger, fiable et gratuit !

jeudi 24 mars 2011

Smileys Contre Cancer !

Il y a les Normaux ( . )( . )
en Silicone ( + )( + )
les Parfaits ( o )( o )
... ceux qui ont froids ( ^ )( ^ )
Ceux de grand-mère \./\./
... N'oublions pas les très larges (o Y o)
Les Très Petits (.)(.)
Les Inégaux (°)(.)
On les aimes tous !!!
Mettez ceci sur votre mur de Facebook ou envoyez les par mail et disons
┌∏┐(●_●)┌∏┐ au cancer du Sein !

Message trouvé sur un mur de femme... à diffuser partout !

mercredi 23 mars 2011

Radioactivité : comment manger ?

Alors que le Japon interdit la consommation de l'eau courante pour les nourrissons, il convient de savoir la nature de la dangerosité de la radioactivité. En cas de contamination, quels éléments nutritifs peuvent nous aider à combattre les radiations, quels sont les aliments susceptibles d'êtres contaminés ?

Durant son cycle de vie, un matériau radioactif produit un rayonnement énergétique nocif - Alpha, Bêta, Gamma. Ce rayonnement interagit avec la matière et peut la modifier. Dans le cas d'une cellule, le rayonnement endommage l'ADN (réversible ou irréversible) voir il est capable de détruire la cellule. Évidemment, les effets de ce rayonnement sont différents si on est plus ou moins éloigné du matériau radioactif. L'effet produit dépend aussi du temps d'exposition ainsi que de la protection. En cas de contamination par des éléments liés à des radioéléments, il faut lutter contre la fixation dans le corps des éléments radioactifs en ingérant notamment de l'iode (avant d'être contaminé) en comprimé ou dans les aliments issus de la mer en forte teneur en iode : algue marine séchée, sel iodé, huile de foie de morue, aiglefin, saumon, etc.

Une exposition à une radiation peu élevée entraine des mutations imprévisibles : cancers et enfants atteints de malformations. Les effets peuvent survenir plusieurs années après l'irradiation.
Les autorités compétentes disent qu'actuellement que les radiations faibles sont inoffensives pour la santé. Toutefois, selon le CIPR (1990) : « toute dose de rayonnement comporte un risque cancérigène et génétique».

L'iode radioactif a tendance à se fixer sur la glande thyroïde. En Polynésie, là où la France a testé ses bombes nucléaires, on dénombre 4 fois plus de femmes polynésiennes qui sont atteintes de cancers de la thyroïde ou d'affections thyroïdiennes que de femmes européennes. Évidemment, les partisans du nucléaire contestent tout cela.

Visiter un Colon Géant pour comprendre le Cancer du colorectal

Dans cette semaine du Cancer, nous pouvons visiter un colon géant qui a investi Montparnasse (14e). Ce tunnel gonflable de 22 m de long et 3,5 m de diamètre, proposé jusqu'à mercredi soir par l'organisation Adeca 75.
Curieux et badauds sont invités à parcourir l'intérieur du colon tout en s'informant sur le cancer colorectal. Des polypes bénins en 3D seront présentés, et leur évolution en cancer démontrée.



Comme à chaque fois, la prévention et le traitement précoce sont synonymes de réussite. Chaque année on recense 17.400 décès et 40.000 nouveaux cas de cette maladie. C'est donc le 3e cancer le plus fréquent. Pour éviter un traitement lourd, il convient de se faire un dépistage tous les 2 ans quand on atteint 50 ans. Seuls 20% des Parisiens âgés de 50 à 74 ans se font dépistés chaque année.

Ma compagne de nuit


Emmanuel Beart qui se démarque des autres comédiens par des choix de rôle souvent atypiques s'est amaigri pour interpréter Julia, une architecte atteinte du cancer en phase terminale. On ne peut imaginer meilleure ambassadrice pour la prévention contre le cancer. Néanmoins, les journalistes du cinéma ne sont pas convaincus par le scénario du film. Par ailleurs, ils notent que Hafsia Herzi surjoue face une Emmanuelle Béart qui peine à être crédible.

En tout cas, l'idée semble bonne et chacun se fera son avis.

Fiche :

  • Nationalité : France



  • Année de production : 2009



  • Sortie : 23/03/2011



  • Durée : 1h40



  • Réalisateurs : Isabelle Brocard, Hélène Laurent



  • Acteurs : Emmanuelle Béart, Hafsia Herzi, Alexandra Stewart



  • mardi 22 mars 2011

    Nuage Radio Actif : avis divergents

    Yannic Rousselet de Greenpeace déclare dans le journal gratuit Métro en parlant du nuage : "Le problème, c'est qu'on ne sait pas exactement de quoi il est réellement composé [...] L'ASN oublie de dire que ce nuage pourrait transporter des radioéléments extrêmement toxiques. Ainsi, on estime qu'il suffit d'un millionième de Plutonium pour déclencher un Cancer Broncho-Pulmonaire. Or il faudra attendre une semaine après le passage du nuage pour mesurer s'il n'y pas de plutonium."

    De son côté, la CRIIRAD estime que si les membres de l'ASN ne sont pas trompés, le « niveau de risque» est « ridicule». Pourtant, est-ce que l'on ne nous refait pas le même coup que pour Tchernobyl ?

    lundi 21 mars 2011

    Le nuage radioactif va survoler la France ce mercredi : risque de cancer ?

    Ce lundi le nuage radioactif venant du Japon devrait atteindre les Antilles. Il arrivera en France Métropolitaine entre mercredi et jeudi selon la modélisation effectué par l'IRSN (Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire). Les concentrations de césium 137 / m3 d'air seraient de l'ordre de 0.001 becquerel dans nos départements ainsi qu'en outre-mer.

    Faut-il s'en inquiéter et se ruer pour acheter des cachets d'iodes ?

    Si la prise d'iode est déconseillée par les autorités compétentes parce que les concentrations sont trop faibles pour impacter sur la santé ou l'environnement, il n'en demeure que 0,001 becquerel de césium 137 par mètre cube d’air, c’est mille fois plus que la radioactivité «habituelle» de l’air français, qui est d’environ 0,000001 Bq/m3, selon l’IRSN. Cette concentration reste indétectable par les 170 balises d’alerte du réseau Téléray de l’IRSN.

    Par rapport à Tchernobyl, ce niveau serait de 1000 à 10000 plus faibles. Pas de quoi s'alerter, selon les autorités.

    L'OMS adopte la position de l'IRSN.